18 août 2013
Lettre XV
R., mardi 6 décembre 2011, 22h59
« La nuit est blanche.
Blanche de ces pages que je n’écrirai pas. De ce pas que je ne ferai pas, de ce signe, de ce mot, de ces sous-entendus, de ces soupirs de longues haleines qui resteront perdus dans leur naissance.
Blanche.
Lis dans mes pensées.
Lis
Et assomme-moi de Poésie.
Il n’est jamais assez tôt pour vivre.
Jamais »
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